-
ecran monochrome HP 82913A
vue 3616 fois -
Portable Zenith data systems 620N det
vue 3727 fois -
bande magnetique QIC 600pieds BASF
vue 7632 fois -
Mémoires ferrites RTC 1974
vue 9580 fois -
arbre depuis masque perfore
vue 2610 fois -
Ecran HP A2094 tube Trinitron dalle avant cylindrique
vue 2746 fois -
Tubes nixies
vue 2452 fois -
Minitel Alcatel
vue 10866 fois -
Minitel Alcatel
vue 2574 fois -
Ecran radius modele 0194 45deg
vue 2845 fois -
Appareil photo Tektronix C53 oscillo cote reglages
vue 12676 fois -
Souris sun tapis optique
vue 2799 fois -
Station SUN boite a chaussures
vue 2603 fois -
Ecran moniteur CRT AMSTRAD GT65
vue 3457 fois -
Digital DEC VT100 testeur GENRAD
vue 2661 fois
L’informatique peut être vue sous beaucoup d’aspects.
Historiquement cela a commencé par l’automatisation des tâches répétitives du raisonnement humain comme les calculs, les classements de données. Cette informatique a débuté à la fin du XIXème siècle avec la mécanographie, les machines à calculer mécaniques et électriques, les règles à calcul.
A partir des années 1940, la disponibilité de composants plus rapides que les relais électromécaniques avec d’abord les tubes électroniques puis les transistors, et enfin les circuits intégrés a permis de réaliser des suites de calculs selon des algorithmes de plus en plus complexes. L’apparition des mémoires magnétiques sur bandes magnétiques, à tambour, puis à ferrites, puis des disques durs a permis d’augmenter la taille des programmes et du nombre de données traités simultanément. La diminution du prix, les connexions en réseau ont permis la généralisation de l’informatique de nos jours à pratiquement tous les objets pouvant être en relation directe avec l’homme.
La relation de l’homme avec les machines s’est d’abord faite par des cartes et des bandes perforées voire des panneaux d’interrupteurs, puis par des terminaux avec clavier du type machine à écrire. Sont arrivés ensuite les crayons optiques, les souris. La reconnaissance vocale commence à se répandre. On rêve de lire dans les pensées. La plupart des documents sont maintenant sous forme numérique et par définition ils ne peuvent qu’être créés et utilisés que par des objets à base d’informatique. Nous sommes envahis et nous le serons de plus en plus.
Historiquement cela a commencé par l’automatisation des tâches répétitives du raisonnement humain comme les calculs, les classements de données. Cette informatique a débuté à la fin du XIXème siècle avec la mécanographie, les machines à calculer mécaniques et électriques, les règles à calcul.
A partir des années 1940, la disponibilité de composants plus rapides que les relais électromécaniques avec d’abord les tubes électroniques puis les transistors, et enfin les circuits intégrés a permis de réaliser des suites de calculs selon des algorithmes de plus en plus complexes. L’apparition des mémoires magnétiques sur bandes magnétiques, à tambour, puis à ferrites, puis des disques durs a permis d’augmenter la taille des programmes et du nombre de données traités simultanément. La diminution du prix, les connexions en réseau ont permis la généralisation de l’informatique de nos jours à pratiquement tous les objets pouvant être en relation directe avec l’homme.
La relation de l’homme avec les machines s’est d’abord faite par des cartes et des bandes perforées voire des panneaux d’interrupteurs, puis par des terminaux avec clavier du type machine à écrire. Sont arrivés ensuite les crayons optiques, les souris. La reconnaissance vocale commence à se répandre. On rêve de lire dans les pensées. La plupart des documents sont maintenant sous forme numérique et par définition ils ne peuvent qu’être créés et utilisés que par des objets à base d’informatique. Nous sommes envahis et nous le serons de plus en plus.