-
Minitel1 Dialogue Radiotechnique 1988
vue 10588 fois -
Répondeur enregistreur téléphonique Philips K7
vue 7194 fois -
Ordinateur Apple EMAC tube rayons cathodiques
vue 19438 fois -
Microfiches Storage technology corporation
vue 5771 fois -
carte memoire diodes cit 1974 64x40
vue 7989 fois -
HP 3577 5Hz 200 MHz messages confidence test
vue 4489 fois -
teleimprimeur_SAGEM_SP5_avant_perspective
vue 9739 fois -
Lecteur disquettes 3p1 2 Hewlett Packard 9122
vue 11607 fois -
carte memoire 900 tores NCR 1974
vue 16099 fois -
Terminal video Nixdorf orange
vue 3569 fois -
Souris Tektronix 1969
vue 3131 fois -
mémoire à tores 384 bits_caisse enregistreuse années 1960
vue 22975 fois -
Hewlett-Packard 9800_model10_calculateur_cassette_mathematics
vue 4928 fois -
9810A programmes sur cartes magnetiques
vue 5380 fois -
filtre ecran CRT
vue 3461 fois
L’informatique peut être vue sous beaucoup d’aspects.
Historiquement cela a commencé par l’automatisation des tâches répétitives du raisonnement humain comme les calculs, les classements de données. Cette informatique a débuté à la fin du XIXème siècle avec la mécanographie, les machines à calculer mécaniques et électriques, les règles à calcul.
A partir des années 1940, la disponibilité de composants plus rapides que les relais électromécaniques avec d’abord les tubes électroniques puis les transistors, et enfin les circuits intégrés a permis de réaliser des suites de calculs selon des algorithmes de plus en plus complexes. L’apparition des mémoires magnétiques sur bandes magnétiques, à tambour, puis à ferrites, puis des disques durs a permis d’augmenter la taille des programmes et du nombre de données traités simultanément. La diminution du prix, les connexions en réseau ont permis la généralisation de l’informatique de nos jours à pratiquement tous les objets pouvant être en relation directe avec l’homme.
La relation de l’homme avec les machines s’est d’abord faite par des cartes et des bandes perforées voire des panneaux d’interrupteurs, puis par des terminaux avec clavier du type machine à écrire. Sont arrivés ensuite les crayons optiques, les souris. La reconnaissance vocale commence à se répandre. On rêve de lire dans les pensées. La plupart des documents sont maintenant sous forme numérique et par définition ils ne peuvent qu’être créés et utilisés que par des objets à base d’informatique. Nous sommes envahis et nous le serons de plus en plus.
Historiquement cela a commencé par l’automatisation des tâches répétitives du raisonnement humain comme les calculs, les classements de données. Cette informatique a débuté à la fin du XIXème siècle avec la mécanographie, les machines à calculer mécaniques et électriques, les règles à calcul.
A partir des années 1940, la disponibilité de composants plus rapides que les relais électromécaniques avec d’abord les tubes électroniques puis les transistors, et enfin les circuits intégrés a permis de réaliser des suites de calculs selon des algorithmes de plus en plus complexes. L’apparition des mémoires magnétiques sur bandes magnétiques, à tambour, puis à ferrites, puis des disques durs a permis d’augmenter la taille des programmes et du nombre de données traités simultanément. La diminution du prix, les connexions en réseau ont permis la généralisation de l’informatique de nos jours à pratiquement tous les objets pouvant être en relation directe avec l’homme.
La relation de l’homme avec les machines s’est d’abord faite par des cartes et des bandes perforées voire des panneaux d’interrupteurs, puis par des terminaux avec clavier du type machine à écrire. Sont arrivés ensuite les crayons optiques, les souris. La reconnaissance vocale commence à se répandre. On rêve de lire dans les pensées. La plupart des documents sont maintenant sous forme numérique et par définition ils ne peuvent qu’être créés et utilisés que par des objets à base d’informatique. Nous sommes envahis et nous le serons de plus en plus.