Electronique marine [10]
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C’est là que l’électronique qui se limitait alors à la radio a acquis ses lettres de noblesse. Ceci s’est passé lors du naufrage du Titanic en 1912 où des centaines de personnes furent sauvées grâce aux appels lancés par le radio du bord et captés par les autres navires sur zone.
Les premiers émetteurs utilisaient des arcs, tandis que les premiers récepteurs utilisèrent des technologies qui pour certaines disparurent assez rapidement comme les cohéreurs à limaille d’Edouard Branly, les détecteurs électrolytiques. Les cristaux de galène utilisaient déjà un effet semi-conducteur mais mal compris et instable. On sait que les semi-conducteurs reviendront en force ensuite et ils ont conquis maintenant 95 % des applications de l’électronique. Les tubes électroniques s’adaptant à tous les usages et à toutes les puissances et fréquences tinrent le haut du pavé des années 1910 à 1970. Ce qui est une belle longévité. L’électronique marine -encore le Titanic- a été le premier champ d’expériences pour le radar dans l’application de la détection d’icebergs. Les opérateurs radio que l’on a trouvé sur les navires jusque dans les années 1980 ont maintenant disparu. Pour les liaisons à courte distance, on utilise des émetteurs récepteurs VHF automatiques. Loin des côtes, le système satellite IMMARSAT achemine les communications, tandis que le guidage est assuré par le système satellite GPS ou encore un peu par le système radio LF LORAN. La passerelle des navires est maintenant occupée des quantités d’écrans qui aident des équipages de taille réduite.
Les premiers émetteurs utilisaient des arcs, tandis que les premiers récepteurs utilisèrent des technologies qui pour certaines disparurent assez rapidement comme les cohéreurs à limaille d’Edouard Branly, les détecteurs électrolytiques. Les cristaux de galène utilisaient déjà un effet semi-conducteur mais mal compris et instable. On sait que les semi-conducteurs reviendront en force ensuite et ils ont conquis maintenant 95 % des applications de l’électronique. Les tubes électroniques s’adaptant à tous les usages et à toutes les puissances et fréquences tinrent le haut du pavé des années 1910 à 1970. Ce qui est une belle longévité. L’électronique marine -encore le Titanic- a été le premier champ d’expériences pour le radar dans l’application de la détection d’icebergs. Les opérateurs radio que l’on a trouvé sur les navires jusque dans les années 1980 ont maintenant disparu. Pour les liaisons à courte distance, on utilise des émetteurs récepteurs VHF automatiques. Loin des côtes, le système satellite IMMARSAT achemine les communications, tandis que le guidage est assuré par le système satellite GPS ou encore un peu par le système radio LF LORAN. La passerelle des navires est maintenant occupée des quantités d’écrans qui aident des équipages de taille réduite.