Composants / Electromecaniques [21]
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L'électromécanique, c'est l'art d'utiliser l'électricité pour exercer des forces dans les moteurs ou de convertir des forces en électricité avec des alternateurs ou des génératrices.
Vieux rêve de l'humanité devenu réalité : l'esclave mécanique inusable, obéissant instantanément à la volonté de l'homme.
Sans moteurs électriques : pas de mémoires de masse informatiques : disques dur immobiles. Ni rotation du disque, ni positionnement de la tête de lecture.
Pas de sauvegarde sur bande magnétique : car pas d'entrainement de la bande.
Pas de ventilateurs assurant le refroidissement des processeurs et des alimentations.
On a maintenant des voitures intégralement électriques qui utilisent des moteurs électriques de propulsion, les voitures thermiques utilisent des moteurs électriques pour le démarrage, les essuies-glaces, les lève-vitres, le conditionnement d'air etc.
Les moteurs électriques sont de parfaits utilisateurs des énergies renouvelables.
Leur limitation actuelle est leur puissance massique plus faible que celle des moteurs thermiques comme les turbines à réaction et la difficulté de stocker l’électricité. La puissance massique des batteries est encore plus faible que celle des carburants.
L’avion électrique long courrier fiable quelque soit la météo va encore rester à l’état de prototype un certain temps.
La théorie de l’électromécanique est une application de l’électromagnétisme.
Dès les années 1820, Laplace a mis en évidence qu’un champ magnétique exerce une force sur un circuit parcouru par un courant.
Lorentz a montré que cette force vaut au maximum FLorentz = I.L.B avec
I = Courant en A
L = longueur du conducteur immergée dans l’induction magnétique B
B en Teslas : T
Ampère démontra qu’un courant I produit un champ magnétique H. C’est la forme intégrale de la loi de Biot et Savart
H = I / 2. Pi . R
H en A / m
I = Courant en A
B = 4. PI. .10^-7. H
Ampère inventa aussi l’électro-aimant : Concentration de l’induction B par du matériau ferromagnétique ; à l’époque le fer doux.
L’aventure industrielle des moteurs électriques débute vers les années 1870 avec le mécanien Belge Gramme. Le collecteur avec ses balais permet d’obtenir une machine réversible : fournissant du courant en mode dynamo et en l’absorbant en mode moteur.
Le courant alternatif polyphasé qui possède la merveilleuse propriété de passer à travers les transformateurs pour changer sa tension a apporté une énorme simplification des moteurs électriques. Le champ magnétique tournant n’a plus besoin d’être créé par des commutations compliquées dans le collecteur, c’est le réseau électrique alternatif qui le contient.
On sait réaliser des alternateurs produisant des puissances de 1600 MW (centrales nucléaires) et des moteurs électriques de 20 MW (Propulsion «électrique des navires).
Les électro-aimants ont donné lieu à la naissance des relais électro-mécaniques : interrupteurs actionnés par des électro-aimants.
C’est le premier composant logique. Les centraux téléphoniques automatisés ont utilisé les relais à partir des années 1910. Dans les années 1940, les relais ont permis de construire les premiers ordinateurs (Conrad Zuse ; 1 multiplication en 4 secondes) qui ont été rapidement supplantés par ceux réalisés par de l’électronique à tubes à vide.
Vieux rêve de l'humanité devenu réalité : l'esclave mécanique inusable, obéissant instantanément à la volonté de l'homme.
Sans moteurs électriques : pas de mémoires de masse informatiques : disques dur immobiles. Ni rotation du disque, ni positionnement de la tête de lecture.
Pas de sauvegarde sur bande magnétique : car pas d'entrainement de la bande.
Pas de ventilateurs assurant le refroidissement des processeurs et des alimentations.
On a maintenant des voitures intégralement électriques qui utilisent des moteurs électriques de propulsion, les voitures thermiques utilisent des moteurs électriques pour le démarrage, les essuies-glaces, les lève-vitres, le conditionnement d'air etc.
Les moteurs électriques sont de parfaits utilisateurs des énergies renouvelables.
Leur limitation actuelle est leur puissance massique plus faible que celle des moteurs thermiques comme les turbines à réaction et la difficulté de stocker l’électricité. La puissance massique des batteries est encore plus faible que celle des carburants.
L’avion électrique long courrier fiable quelque soit la météo va encore rester à l’état de prototype un certain temps.
La théorie de l’électromécanique est une application de l’électromagnétisme.
Dès les années 1820, Laplace a mis en évidence qu’un champ magnétique exerce une force sur un circuit parcouru par un courant.
Lorentz a montré que cette force vaut au maximum FLorentz = I.L.B avec
I = Courant en A
L = longueur du conducteur immergée dans l’induction magnétique B
B en Teslas : T
Ampère démontra qu’un courant I produit un champ magnétique H. C’est la forme intégrale de la loi de Biot et Savart
H = I / 2. Pi . R
H en A / m
I = Courant en A
B = 4. PI. .10^-7. H
Ampère inventa aussi l’électro-aimant : Concentration de l’induction B par du matériau ferromagnétique ; à l’époque le fer doux.
L’aventure industrielle des moteurs électriques débute vers les années 1870 avec le mécanien Belge Gramme. Le collecteur avec ses balais permet d’obtenir une machine réversible : fournissant du courant en mode dynamo et en l’absorbant en mode moteur.
Le courant alternatif polyphasé qui possède la merveilleuse propriété de passer à travers les transformateurs pour changer sa tension a apporté une énorme simplification des moteurs électriques. Le champ magnétique tournant n’a plus besoin d’être créé par des commutations compliquées dans le collecteur, c’est le réseau électrique alternatif qui le contient.
On sait réaliser des alternateurs produisant des puissances de 1600 MW (centrales nucléaires) et des moteurs électriques de 20 MW (Propulsion «électrique des navires).
Les électro-aimants ont donné lieu à la naissance des relais électro-mécaniques : interrupteurs actionnés par des électro-aimants.
C’est le premier composant logique. Les centraux téléphoniques automatisés ont utilisé les relais à partir des années 1910. Dans les années 1940, les relais ont permis de construire les premiers ordinateurs (Conrad Zuse ; 1 multiplication en 4 secondes) qui ont été rapidement supplantés par ceux réalisés par de l’électronique à tubes à vide.