Le conservatoire qui rebranche sur le NET ce que l’histoire a laissé derrière elle
Ce fréquencemètre de la génération des années 1960 utilise des transistors au germanium. Quand il était en forme, il pouvait compter jusqu’à 50 MHz.
Le commutateur fréquence permettait de vérifier le bon fonctionnement en comptant les impulsions de la base de temps de référence. Ce qui était bien nécessaire, il était courant de retrouver la valeur théorique de la base de temps de 1 MHz à 1.2 MHz puis ensuite à 800 kHz.
Le thermostat est celui du four thermostaté qui maintient à 80 °C le quartz de la base de temps. L’allumage maximum de la lampe témoin a lieu lors de la mise sous tension et correspond à la puissance de chauffe maximale.
Ces appareils sont totalement obsolètes et ils sont remplacés par des versions équipées de circuits intégrés comptant en direct les GHz. Ce que les techniciens regrettent, ce sont les afficheurs à tubes Nixie d’un magnifique orange flamboyant qui bagotaient ‘’ad libitum’’.
Auteur | Ph Maliet |
Créée le | non disponible |
Ajoutée le | Dimanche 15 Juillet 2007 |
Dimensions | 1024*488 |
Fichier | Frequencemetre_Schlumberger_A1439_tubes_Nixies.JPG |
Poids | 185 Ko |
Tags | mémoire, Nixie, Rochar, résistance, Schlumberger, Transistor, tube |
Catégories | |
Visites | 16907 |
Note moyenne | 4.13 (noté 8 fois, écart type = 1.69) |
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